Addicted
Ca y est, j’ai rempli mon premier casier! Vous vous souvenez, il y a quelques mois quand je parlais de mes récentes lectures? Je commençais à peine à lire des mangas, trouvés au hasard d’une promenade dans le centre de Liège…
Et voila où j’en suis aujourd’hui, à m’empêcher de lire trop vite, à râler lorsque j’arrive à la dernière page… Un jour, nous aurons une maison avec une pièce tapissée de mangas et de posters et je me moquerai bien de ce premier casier d’Expedit rempli de bouquins mais pour l’heure, je suis toute contente. Donc, histoire de débattre un peu de tout ça avec d’autres amateurs de mangas, voici ce que je lis.
Sous les conseils d’une charmante vendeuse de Liège, j’ai commencé par Dears qui à mon grand damn ne comporte pour l’instant que 3 tomes, j’ai fait des bonds quand j’ai enfin vu le 3eme chez BD-World à Mons. C’est l’histoire d’extraterrestres qui se crashent sur Terre, au Japon, et ont de terribles facilités d’adaptation pour les coutumes et le langage des humains; Il s’agit pour la plupart de femmes extraterrestres (gros seins, oui) qui étaient destinées à être livrées comme esclaves. Du coup, elles se prennent pour les esclaves des humains. Tous les mecs ont envie d’avoir une dears pour eux, mais c’est chez le loser de service, le seul qui s’en fiche, que Ren va jeter son dévolu. Le seul truc, c’est que Ren est un numéro zéro, en d’autres termes un produit défectueux.
J’ai continué avec XXXHolic, toujours sous les conseils de la charmante vendeuse. L’histoire est un peu plus décousue. Le fil conducteur est dans les personnages; Yuko, une sorcière qui troque ses sorts contre la chose la plus précieuse de ses clients. On rencontre aussi son commis et ses deux petits chouchoux. D’un tome à l’autre, et il y en a 7 (le 8 va sortir d’ici quelques semaines), on assiste à différents tours de magie qu’elle exerce, dans différentes situations.
Qui lit Holic ne peut pas passer à côté de Tsubasa Reservoir Chronicle. Les deux histoires se chevauchent le jour où Shaolan fait appel à Yuko pour trouver le moyen de rendre sa mémoire à Sakura, la princesse de son Royaume. Sa mémoire est répartie en plusieurs plumes que Shaolan devra retrouver en allant de dimension en dimension. Pour sa quête, il sera aidé de Kurogane et de Fye (Fye, qui est d’ailleurs le créateur de Tchii). Le seul hic est le prix à payer. Sakura retrouvera la mémoire au fur et à mesure, elle se souviendra de tout… sauf de Shaolan (qui est amoureux d’elle)
Sous les conseils de Marc, j’ai commencé Love Hina en étant plus que sceptique qu’une histoire somme toute assez simple me plairait. J’aime quand il y a un peu de magie ou de technologie. Dans Love Hina, rien de tout ça et pourtant j’ai dévoré les 14 tômes de la série. C’est l’histoire d’un jeune garçon, Keitaro, qui essaie depuis plusieurs années de rentrer dans une prodigieuse université. Il s’apprete à rentrer à l’hotel que tenait sa grand mère, mais l’hotel est devenu une pension de jeunes filles. Malheureusement pour lui, il fait leur connaissance dans le bain (une espèce de source chaude à ciel ouvert dont j’ai oublié le nom) et il passe immédiatement pour l’obsédé de service. Il parvient néanmoins à se faire accepter par les demoiselles et sera tour à tour leur bouc émissaire, leur grand frère ou leur petit copain. C’est fleur bleue à souhait, très comique, super bien dessiné…
Pour rester dans le fleur bleue, j’ai tenté Fruits Basket mais je n’en n’ai lu que deux. J’aime moins les dessins. Il s’agit à peu de choses près de l’inverse de Love Hina. Une jeune fille se retrouve dans la pension de famille de garçons. Elle va apprendre que chacun a le caractère d’un animal du zodiaque. En plus du caractère, chacun se transforme en son animal fétiche si une demoiselle leur tombe dans les bras. Je dis bof. J’aime bien quand je suis à fond dedans, mais je n’ai pas acheté tous les tômes d’un coup (j’avais éclaté le budget avec Love Hina), et je n’ai pas ressenti la même hâte à acheter le tôme suivant pour absolument connaître la suite.
J’ai ensuite fait une agréable découverte à Mons. L’existence d’un BD World dans le centre commercial des Grands Prés, et surtout l’existence d’un rayon de mangas surdimensionné. Mouhahahahaha et devinez ce que j’y ai trouvé… Chobits. Mon premier amour d’animé. Bref, j’ai été folle, j’ai acheté la série complète, 8 tômes, sous l’oeil plus qu’approbateur de Ced (= “me voila tranquille pour un bon mois”) Héhé que nenni, j’ai dévoré les 8 bouquins en 3 ou 4 jours. Je pensais que ça me plairait mais sans plus, vu que j’avais suivi l’anime à la tv. Mais c’est tellement mieux en livre! Donc pour ceux qui ne connaissent pas encore; Tchii est un persocom. Un “personal computer” qui a la forme d’une jolie jeune femme. Hideki la trouve dans une poubelle et la reprend chez lui. Il va se rendre compte qu’elle n’est pas un persocom comme les autres. Avec ses amis, dont Minoru le geek par excellence, il va découvrir qui est vraiment Tchii.
Ensuite, en lisant les blogs habituels, je suis tombée sur une note de Gally qui explique pourquoi elle a choisi ce pseudo. C’est en fait à cause de l’héroïne de Gunnm. Gally est une androïde. Elle a un cerveau humain mais des membres et un corps de métal, réparable et modifiable à souhait. Sans connaître son passé, elle se rend compte qu’elle maîtrise vachement bien des techniques de combat de la planète Mars et elle s’en sert pour devenir chasseur de prime. Un jour, le garçon qui la faisait craquer devient une cible pour les chasseurs de prime (car il vole des colonnes vertébrales le petit coquin). Elle fait semblant de l’avoir tué et le répare mais il meurt ensuite en essayant de rejoindre une ville flottante. Ca la rend carrément aigre et elle quitte son univers pour se lâcher (avec un coprs de compet’) dans un sport particulièrement dangereux, le motorball… et je n’en sais pas plus, j’ai lu le 3ème ce matin, il m’en reste 6 (Ced m’a acheté le coffret)
Après ça, je lirai Blame, sans doute. Ca me semble aussi assez sombre. Sinon j’ai aussi entendu parler de Kurosagi, Livraison de cadavres et de Tokyo Mew Mew qui me font assez envie.
1 reply on “Bonjour tout le monde !”