La journée de la femme

Par Soph

Depuis 1975, le 8 mars a été proclamé Journée internationale de la femme pour célébrer la lutte historique concernant l’amélioration des conditions de vie des femmes. L’occasion de voir le monde dans lequel nous vivons en réfléchissant sur son histoire, en se disant qu’il n’en n’a pas toujours été ainsi. Les femmes ont attendu pour pouvoir voter, pour avoir le même salaire que les hommes à travail égal, pour avoir le droit de faire autre chose que tenir la maison et s’occuper des enfants. Malheureusement, ça ne se passe pas encore comme ça partout dans le monde. Des femmes sont encore obligées de se cacher sous de grosses épaisseurs de tissus, d’autres se font coudre le vagin, couper le clitoris. Dans certains pays, la femme est responsable lorsqu’elle se fait violer. En 2005, ce n’est pas normal que dispersées dans le monde, des femmes subissent encore des maltraitances.

En Belgique malheureusement, on ne sort pas du lot, les maltraitances existent toujours.
Chacun peut être un jour confronté à la violence conjugale dans son entourage proche, sa famille, ses amis, ses voisins, ses collègues… ou en être victime directement. Une brochure éditée par la gendarmerie et réalisée par l’asbl “Femmes solidaires contre la violence” intitulée “Femmes battues, maltraitées, que faire pour s’en sortir ?” veut informer un large public sur ce fait de société. La violence conjugale est un fait grave dont souffrent plus de personnes qu’il n’y paraît. Environ, une femme sur trois en est victime, tous milieux et toutes classes sociales confondus.

Cependant, peu de gens osent en parler par honte et humiliation vis à vis de la famille, par peur de représailles violentes de la part du conjoint ou encore lors de pressions psychologiques impliquant la garde des enfants. La violence peut apparaître très tôt dans la vie du couple fusionnel, lorsque aucun des deux partenaires ne souhaitent faire de compromis. Cela commence souvent par une vexation méchante ou une trop grande tension chez l’un ou l’autre partenaire, qui dérape vers une violence morale sans plus aucunes retenues, déborde ensuite sur une violence physique engendrant des pulsions de destruction voire de mort. Une jalousie excessive, nuisant à la santé et à l’épanouissement du couple est aussi source de conflits.

Il existe beaucoup de moyens pour s’en sortir, sans toutefois aller vers la séparation. Une médiation chez un avocat spécialisé et un suivi psychologique sont conseillés aux couples en crise. La brochure “Femmes battues, maltraitées, que faire pour s’en sortir ?” contient un bon nombre d’adresses et de conseils très utiles pour prévenir la violence dans le couple. Cette brochure est disponible gratuitement dans les services d’accueil et d’hébergement, d’Aide psychologique et juridique et dans les CPAS de la région Ath – Tournai – Mouscron, à la police et à la gendarmerie. Renseignements : Maisons Médicales du Tournaisis tél.: (069) 22 60 93 – (069) 22 28 37. (enmarche.be)

L’article du Nouvel Observateur
Une exposition d’art à Sambreville

Tout cela est bien beau mais je pense que même sans toutes ces démonstrations de bonne volonté (un jour pour la femme et 364 jours pour l’homme?) la femme peut s’en sortir et équilibrer la société. A trop demander, demander et encore demander, la femme en aura beaucoup trop et l’homme lui reprendra ses droits… par la force.

1 reply on “Bonjour tout le monde !”

je pense si la femme acceptait de rester à sa place on aurait pas tout ce souci. on peut lire dans le livre des proverbes et egalement dans l'ancien testament Sarah qui appelait son mari mon seigneur. A mon avis cette fete soit dit journée internationale de la femme n'existerait pas du fait qu'elle n'a pas d'origine binlique.
<p>bjr a tous, je dois réaliser un travail sur les violences conjugales très prochainement. malheureusement je ne parviens pas à trouver l'historique de ces violences. Pouvez vous m'aider? merci d'avance</p>